Mon père, ma mère et Sheila

© Julia Simelière

Seul en scène, Eric Romand nous plonge dans le quotidien d’une famille française des années 70. 
De la table camping pliante aux émissions pailletées de Guy Lux, il nous embarque dans le parcours chaotique d’un garçon tiraillé entre la Renault 12 de Papa et la robe de mariée de Tatie Paulette, l’Olympique Lyonnais et les mises en plis de Mamie, le couvre-lit en fourrure de Mike Brant et la chatte de Joëlle, Supertramp et Sheila. 
"Mon cousin Jean-Jacques, lui, préférait Sylvie Vartan à Sheila parce qu’elle avait un plus beau cul..."