On ne peut pas vraiment dire que l'Alsace soit le cadre de tournage préféré des réalisateurs de cinéma - on ne la retrouve que rarement au 7ème art... Dans ces cinq films par exemple.
1. Sherlock Holmes 2 (2011)
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Cela avait fait les gros titres des journaux régionaux en 2011 : le tournage du blockbuster américain avec Robert Downey Jr. débarquait à Strasbourg, devant la Cathédrale, avec sa cohorte de figurants, techniciens et cascadeurs ! De Strasbourg, dans le film, il n'en aura été question que le temps d'une scène d'ouverture de quelques secondes... Et pour voir Robert Downey Jr. en vrai, vous pouviez toujours vous brosser, aucune des stars du film n'était présente sur place pour la scène.
2. La Grande Illusion (1937)
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Le classique de Jean Renoir avec Jean Gabin sur une amitié entre un officier Français et un autre Allemand - peu avant que la Deuxième Guerre Mondiale n'éclate réellement - a été tourné pour grande partie en Alsace, à Neuf-Brisach, à la caserne de Colmar ainsi qu'au Château du Haut-Koenigsbourg, facilement identifiable.
3. La Confiance Règne (2004)
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Les puristes vont nous assassiner sur jds.fr car nous avons préféré mettre dans ce classement ce très mauvais film d'Etienne Chatilliez (le réalisateur du culte La Vie est un long fleuve tranquille) plutôt que Jules et Jim de Truffaut, lui aussi tourné en Alsace. Oui, mais c'est parce que La Confiance Règne est l'un des rares long-métrages à avoir été filmé à Mulhouse, avec une scène se passant sur la Place de la Réunion et une autre à la gare. Un jour, la belle Cécile de France a marché sur nos trottoirs ! Fantasme total.
4. Tous les Soleils (2011)
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Ce film à petit budget tourné entièrement à Strasbourg a connu un joli succès en 2011. La ville y était particulièrement magnifiée. En revanche, tous les Strasbourgeois auront bien pouffé de rire en découvrant le montage de la scène d'ouverture. Notre héros parcourt la ville en Solex, mais d'un plan à l'autre, parvient à rejoindre deux endroits distants de cinq kilomètres dans la réalité.
5. Les Trois Frères (1995)
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A la fin du film, Bourdon, Campan et Légitimus sont envoyés dans un orphelinat en Alsace, dans la ville fictive de "Polsheim" pour effectuer leur peine de travail d'intérêt général. Un acteur essaie d'imiter l'accent alsacien dans cette scène. Gotcha ! Accent plutôt raté !