Un succès qui ne se dément pas, elle est à la fois superbe, moderne, facile d’accès et déclinable à l’infini. Le principe est simple : inspirée des thermes romains, elle privilégie le grand espace. Pas de contrainte de taille ni de forme, elle laisse libre cours à la créativité. Une absence de parois qui donnera une grande profondeur à la salle de bain. Sans seuil ni receveur apparent, elle affleure le sol. L’écoulement est intégré au plancher, plus d’obstacle à franchir. Finis les contorsions et le sentiment d’emprisonnement, une véritable invitation à se doucher en couple. Aujourd’hui elle se sophistique en intégrant parfois un « walk-in », sorte de sas avec siège et portemanteau pour se sécher et s’habiller à l’aise. Le comble du confort ! Evidemment, le luxe a un prix, et pour des raisons techniques d’étanchéité et d’écoulement, il est préférable de consulter un professionnel et de bénéficier ainsi de la garantie décennale.
DR Des objets nouveaux et étonnants pour la maison du futurPeu à peu des projets réellement innovants se mettent en place. La société Réalisation Prospective invente, sur le papier, la cellule d’habitat du futur. Entièrement éco-conçue elle est autonome en énergie, permet d’alimenter les vélos ou voitures électriques, construite sur une ossature bois et réalisée en usine ! Récupération des eaux de pluie, filtrées et chauffées avec des capteurs thermiques, éolienne verticale, puit canadien pour la ventilation sans déperdition calorique et mieux… construite sur pilotis afin de ne pas toucher au site sur lequel il est installé. Cet habitat est conçu comme un loft aménageable à la carte selon usage, les cellules peuvent se connecter entre elles.
Tout peut aller très vite mais ne la cherchez pas encore en catalogue, cette maison du futur est le projet néanmoins très sérieux d’un designer (Antoine Fritsch), prix du Lieu du design en Ile-en-France.
Les arts de la table n’échappe pas aux remises en question ambiantes. Sylvie Amar Studio, une agence de design global spécialisée dans la gastronomie, propose une petite révolution : l’assiette à niveau variable qui intègre une cavité spéciale pour la sauce. Le restaurateur, premier utilisateur ciblé, peut proposer de nouvelles présentations et jouer avec cette envie de «faire trempette ou pas» et donc de varier ses présentations à table et mettre ainsi en valeur son savoir-faire. Le consommateur, quant à lui, devient acteur de sa dégustation : il picore, trempe, goûte avec ou sans sauce. Une idée simple mais parait-il observée avec grand intérêt par des chefs étoilés. Fabriquée en Espagne par CIM (Cerámica Industrial Montgatina), seule entreprise européenne ayant relevé le défi face aux exigences de fabrication de ces modèles complexes.
Matériaux : porcelaine. Poids : 1 kg. Longueur : 315 mm. Largeur : 315 mm. Hauteur : 20 mm. Prix indicatif : 28 euros.
Il suffisait d’y penser. Le boîtier électrique dessiné par BETC et commercialisé bientôt par une filiale d’EDF allie haute technicité et esthétisme. Linky, c’est son nom, calcule et indique les pics de consommation électrique. Il permet à l’utilisateur de mieux comprendre sa consommation et de modifier son comportement pour consommer moins. Intuitif, avec seulement deux boutons en façade, un objet simple, pratique et probablement voué à un grand avenir.
Voir également nos articles :
Besoin d'idées sorties dans votre ville ?
Recevez les meilleures idées sorties par notification web !
Aucun email requis.
Autoriser les notifications pour continuer.
Recevez les meilleures idées sorties par notification web !
Aucun email requis.
Une seconde fenêtre va s'ouvrir vous invitant à autoriser les notifications