Les ennemis ? Formaldéhyde, benzène, trichloroéthylène, pentachlorophénol, monoxyde de carbone… Pour simplifier, tous les Composés Organiques Volatils (COV) toxiques qui émanent de sources diverses : désodorisants, fumée de cigarette, insecticides, mais pas seulement ! Produits ménagers, moquette collée, parquets, fenêtres en PVC, papier peint, peintures, anciens isolants, tous les produits chimiques sont susceptibles de distiller, et ce pendant de longues années, des substances indésirables et toxiques.
Heureusement, les parades existent. Aérer lorsque la température le permet et, en saison hivernale, adopter des plantes vertes.
On sait depuis longtemps que les plantes «respirent». Plus les plantes sont grosses, plus la surface de feuille est importante et plus l’échange gazeux est important. La nuit, elle rejette du gaz carbonique mais la journée, grâce à la photosynthèse, elles retransforment ce gaz carbonique en oxygène. Contrairement aux idées reçues, il n’y a pas de risque à mettre une plante verte dans la chambre à coucher. En cinq minutes, le matin, elle réabsorbera le gaz carbonique qu’elle a rejeté dans la nuit… et le vôtre.
Beaucoup de laboratoires et même la Nasa (pour ses futurs longs voyages dans l’espace) se sont penchés sur le problème. Après de longues années de recherche, les avis sont unanimes : le traitement naturel est efficace et ils ont vérifié que certaines plantes sont plus spécialisées que d’autres. Il convient donc de panacher selon les pièces et leur probable pollution.
Par chance, ces plantes de dépollution sont peu chers - de 5 à 30 € - faciles à soigner et de plus, esthétiques.
Avant de franchir le pas, soyez logique. Il faut impérativement opter pour un terreau biologique, ne pas utiliser de produits nocifs sous peine d’arriver au contraire de l’effet recherché…
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